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| LES PLUIES MYSTERIEUSES | |
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CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:13 | |
| LES PLUIES MYSTERIEUSES
(Merci à tous les sites, à Le Monde, Mysteries of the unexplained et autres d’où je tire mes sources.)
Les cieux ne sont pas forcément aussi vides qu’on le croit, et, si les anciens mentionnent des chutes d’objets et d’êtres vivants du ciel, c’est à l’américain Charles Fort que l’on doit d’avoir réuni une imposante documentation sur ce sujet mystérieux par excellence. | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Chales H. Fort le traqueur de mystères Jeu 21 Juin 2007 - 18:13 | |
| Chales H. Fort le traqueur de mystères
Descendant d’émigrants hollandais né à New York en 1874 et mort en 1932, Charles Hoyt Fort est une des figures les plus marquantes du monde de l’inexpliqué. Journaliste jusqu’en 1916, un héritage lui permet de se consacrer à plein temps à sa passion.
Il devient un véritable ermite, passant ses matinées dans les bibliothèques (principalement la New York Public Library et celle du British museum) à la recherche d’évènements extraordinaires et ses après-midi à rédiger des fiches qu’il classe dans des boites à chaussures. En1919, il publie son fameux Livre Des Damnés qui sera suivi par New Lands, Lo et Wild Talents, dont le premier exemplaire paraît le jour même de sa mort. Ignorés du grand public, ces catalogues de faits étranges sont écrits avec un humour cinglant qui s’attaque notamment à l’orthodoxie scientifique. Le talent de visionnaire de l’auteur révèle une curieuse conception poétique du cosmos. Plus de 60000 de ses fiches sont conservées à la bibliothèque nationale de New York. Avant même sa mort, l’écrivain Tiffany Thayer met sur pied la Fortean Society s’inspirant, comme l’indique son nom, des recherches de Fort (cette société existe toujours), mais c’est la parution en 1960 du best-seller international le matin des magiciens, des Français Jacques Bergier et Louis Pauwels, qui fait accéder Fort à une notoriété mondiale.
Il avait pour principe de prendre de tels événements pour argent comptant, même s'il devait pour cela faire fi de la méthode scientifique orthodoxe. En fait, Fort manifeste un grand scepticisme devant les interprétations des savants : selon lui, en effet, ceux-ci ignorent parfois délibérément les évidences et en arrivent à rejeter tout bonnement ce qu'ils ne peuvent analyser. Ce parti pris du monde scientifique l'amena à appeler les phénomènes inexpliqués « le royaume des damnés. » Il déclarait " En ce qui me concerne, je ne fais qu'accepter. Ne pouvant voir les choses universellement, je me contente de les localiser." En sorte donc que rien n'a jamais été prouvé et que les déclarations théologiques sont tout aussi sujettes à caution, mais ont dominé la majorité des esprits en leur temps, par de purs procédés hypnotiques [Fort 1919]. Le principal objectif de Fort n'était pas de chercher des explications à ces événements extraordinaires, mais simplement d'affirmer leur existence, d'en fournir toutes les preuves et de laisser les lecteurs juger par eux-mêmes. Mais Fort avait aussi ses propres théories sur ces phénomènes. Lorsqu'on les compare aux positions obstinément laborieuses de la science, les conceptions de Fort se révèlent parfois audacieuses ou farfelues, mais souvent brillamment inspirées. Par exemple, quand il lu un article sur une étrange huile jaune qui tombe du ciel, il ne cherche pas à analyser le liquide : il supposa immédiatement qu'un fuite provient des moteurs de vaisseaux spatiaux reliant Vénus et Mars. On ne dispose, à l'époque, d'aucune preuve réelle de l'existence de ces engins, cependant sa théorie bizarre frappe l'imagination populaire. " | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Les Pluies Jeu 21 Juin 2007 - 18:14 | |
| Les Pluies Les chutes célestes sont presque aussi nombreuses que peu connues se pourquoi je ne donnerais que quelques exemples. Cela peut être des pluies d’objet, de végétaux ou plus souvent d’animaux ou mêmes des substances inconnues … Les pluies de batraciens sont parmi les plus fréquentes et l’un des premiers témoignages recensés est celui d’un certain John Collinges qui raconte qu’une pluie de crapauds à inondé le village d’Acle, dans le conté anglais de Norfolk, et que le patron de la taverne locale a enfourné des pelletés entières de bestioles dans sa cheminée pour s’en débarrasser. On trouve aussi tombé du ciel des souris en Norvège, des crevettes en Australie, et aux Etats-Unis des milliers de serpents à Memphis, et des varans dans l’Utah. L’état même des animaux pose problème, car ils arrivent le plus souvent vivants, ou assez frais pour être comestible, se qui, dans le cas des poissons signifie que le transfert s’est fait très rapidement. De même que les cas de poissons séchés, parfois décapités, ou pris dans la glace, ou encore bouillis, ainsi que les observations faites lorsque le ciel est parfaitement clair. Le mécanisme transporteur quelle que soit sa nature, sélectionne une seule espèce de poisson, de grenouille ou d’animaux quel qu’il soit. Contrairement aux pluies d’animaux les chutes de glaces sont plus dangereuses. Comme ce mouton qui a eu le cou tranché par un glaçon de 7 kilos dans le Devon ou ce charpentier allemand qui fut transpercé par un javelot glacé de 2m de long sur un toit. La thèse de la glace d’origine spatiale peut expliquer certains cas, mais pas celui d’une carpe prisonnière d’un bloc de glace. Les végétaux quant à eux sont plus rares. On trouve par exemple une violente grêle de noisette à Dublin. Encore plus rares sont les chutes de morceaux viande, une dans le Kentucky accompagnée d’une pluie de sang s’étendit sur un kilomètre carré. La première explication est que ces pluies d'animaux résulteraient de phénomènes météorologiques. En effet, un orage, une tempête ou une tornade précède souvent le phénomène, la plus part du temps, et les animaux sont presque toujours de petite taille. Cependant, cette explication reste un peu simpliste et ne peut s'appliquer à tous les cas. Une tornade ou des trombes sont incapables de trier les espèces et de déposer à un même endroit très délimité des milliers d'animaux dont certaines espèces vivent en solitaire ou en eau profonde. La plus part des chutes célestes des anciens temps on leur équivalant moderne, mais quelques-unes unes sont uniques. Ainsi il n’existe aucun exemple moderne de la pluie de grosse souris jaune de Bergen, en Norvège, en 1578 ou celle de lemmings de 1579. | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: D'après Wiki Jeu 21 Juin 2007 - 18:16 | |
| Ce que nous dit Wikipédia :
Les explications contemporaines « alternatives »
La prochaine victime des extraterrestres ? Parmi les explications non scientifiques du phénomène, on trouve des interprétations supranaturelles ou encore des interventions d'extraterrestres : Dans les théories supranaturelles et religieuses, selon la nature des objets qui tombent du ciel, le phénomène est perçu comme un châtiment (les pierres qui s'abattent sur l'armée amorite dans l'Ancien Testament) ou un signe de providence et de bonté divine lorsqu'il s'agit d'animaux comestibles. Impossibles à prouver, et montrant seulement que l'imagination humaine est sans borne, des théories populaires sur l'intervention d'extraterrestres décrivent des visiteurs recueillant une grande quantité de vivres puis les laissant tomber lorsqu'ils quittent notre planète pour une nouvelle destination lointaine. Les pluies de sang et de chair seraient liées à un tri opéré par les visiteurs afin d'alléger leurs stocks. Également assez ésotériques, des théories fondées sur l'existence de plusieurs dimensions et espaces-temps, prenant comme a priori la possibilité de la téléportation, tentent d'expliquer comment des animaux peuvent se trouver là où ils ne devraient pas être. Le journaliste Charles Hoy Fort (cf. infra) a développé ce genre d'explications. Selon lui il existerait une force susceptible de transporter instantanément des objets, pouvoir jadis puissant, mais ne se manifestant plus aujourd'hui que par des actions désordonnées comme les pluies de poissons. Une autre des hypothèses de Charles Hoy Fort repose sur l'existence d'une « mer supérieure des Sargasses »9, un genre de réservoir de matière dans les cieux aspirant et recrachant des objets terrestres.
L'explication scientifique Une tornade peut capturer des animaux et les emmener au loin avant de les laisser tomber. André-Marie Ampère, tenant, contrairement à la plupart de ses collègues, les nombreux témoignages de son temps pour vrais, tenta de proposer une explication aux pluies de crapauds, explication proche de celle désormais avancée par les scientifiques. Il avança à la Société des sciences naturelles qu’à une certaine saison, les crapauds et les grenouilles vagabondaient en très grand nombre et groupés dans les campagnes, si bien que les coups de vents pouvaient en capturer une grande quantité et les déplacer plus loin.10 L'explication scientifique récente du phénomène est qu'il serait dû aux trombes marines. Les vents tourbillonnant au sol d'un tel phénomène sont capables de capturer, grâce à une combinaison de la dépression dans la trombe et de la force exercée par le vent vers celle-ci, des objets et des animaux. Les animaux terrestres et les poissons seraient capturés depuis la surface, tandis que les oiseaux le seraient parfois en plein vol. Par la suite, ces trombes, ou même tornades, les transporteraient à de relativement hautes altitudes et sur d'assez longues distances. Ainsi, les vents seraient capables de capturer des animaux sur une surface relativement large pour ensuite les laisser tomber, au contraire, en masse en un point très localisé. Plus spécifiquement, certaines tornades et trombes seraient capables d'assécher totalement une mare, avant de relâcher l'eau et ses habitants (batraciens et autres), plus loin, sous la forme de pluie d'animaux. Cette explication est logiquement confirmée par la nature des animaux généralement transportés : petits et légers et souvent issus du milieu aquatique, tandis que le phénomène est très souvent précédé d'un orage. D'autres détails posent au contraire problème. Pourquoi les animaux retombent-ils le plus souvent vivants, et même parfois en parfait état ? L'autre problème est de savoir pourquoi la plupart du temps, chaque manifestation du phénomène se caractérise par la chute d'une espèce animale en particulier. Comme le note William R. Corliss « Le mécanisme transporteur, quelle que soit sa nature, préfère sélectionner une seule espèce de poisson ou de grenouille, ou de l'animal inscrit au menu du jour ». Comment expliquer cette étrange sélection ?
Image Doppler d'un radar météorologique du Texas qui montre la rencontre d'un orage tornadique avec un vol de chauve-souris. Le rouge indique qu'elles se dirigent vers le nuage. Dans le cas d'oiseaux, cela pourrait s'expliquer par le fait que la trombe croise un vol d'une espèce particulière en temps de migration. Un exemple de rencontre bien spécifique entre un orage et un vol de chauve-souris, à droite,11 est pris sur le vif par un radar météorologique du National Weather Service américain à Del Rio (Texas). Il illustre comment on pourrait prouver le phénomène dans ce cas: les chauve-souris sont dans la zone en ROUGE qui correspond à des vents s'éloignant du radar (le centre blanc en bas à droite) et entrant dans le mésocyclone associé à une tornade, en VERT. L'auteur mentionne d'ailleurs que ces rencontres sont assez fréquentes avec les oiseaux ce qui leur est fatal. Par contre, pour les animaux terrestres, un explication plausible est plus difficile. Il semble qu'une part d'énigme survive à l'explication scientifique. Dans quelques cas, certaines explications scientifiques nient la thèse de la pluie de poissons. Ainsi, dans le cas de celle de Singapour en 1861, le naturaliste français Francis de Laporte de Castelnau explique que l'averse eut lieu pendant une migration de poissons-chats, et que ces animaux étaient capables de se mouvoir sur terre afin d'aller d'un point d'eau à un autre.12 Donc l'averse et le fait de voir des poissons au sol ne pourra it être que coïncidence. | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:17 | |
| Ce qui suit est un classement par catégories et par dates de témoignages parmi les plus frappant. Il y a tellement de récits qu’il serait impossible de tous les rassembler ici.
Les pluies de roches
La plus ancienne est peut être celle du chapitre 10 verset 11 du livre de Josué : « Comme ils fuyaient devant Israël, […] l’éternel fit tomber du ciel sur eux de grosse pierres jusqu'à Azéka (avant 1600). Au milieu du VIème siècle, l’armée d’Abyssinie qui assiégeait la Mecque, fut mise en déroute par une pluie de pierre. En 1652, en Italie on vit tomber un météore lumineux au près duquel on retrouva de la « gelée d’étoile » (voir autres cas plus bas). Une étoile filante tomba en Silésie elle avait une trajectoire oblique et sifflait lors de son passage. On trouva le lendemain matin, une masse gélatineuse au point de chute. A Marsala en Sicile, un petit nuage sombre apparut dans le ciel clair, s’agrandit peu à peu et fini par lâcher une pluie de pierres sur la ville qui endommagea tuiles et toits (les nuages de se type son souvent aperçut avant un déluge d’objet inhabituels). En juillet 1860, lors d’une violente tempête de cailloux noirs anguleux sont tombés sur Wolverhampton (Angleterre), en telle quantité qu’il a fallu les dégager à la pelle. Le 4 septembre1886 à 2h30, 7h30 et 13h30, une averse de pierres chaudes tomba à l’extérieur des bureaux de New & courier, un journal de Charleston, en Caroline du Sud. On aurait dit que les pierres tombaient d’un point situé juste au-dessus des bureaux dans une zone très délimitée, brisant parfois la chaussée. Les cailloux étaient des silex polis, dont les plus petits avaient la taille de grains de raisin et les plus grand celle d’un œuf de poule. Charleston venait de subir un séisme important le 31 août. En juillet 1921, des cailloux commencèrent à tomber du ciel sur la ville de Chico (Californie), et tombaient encore par intermittence en novembre. Le phénomène n’attira guère l’attention jusqu’en janvier suivant, où J.Peck,un habitant, entreprit une enquête. Il avait vu et entendu des pierres tomber, sans pouvoir se l’expliquer ; il soupçonnait quelqu’un « avec une machine » d’en être à l’origine. Le mystère resta entier. D’après le Pr. Studley « certains rochet étaient trop gros pour être envoyé par moyen ordinaire : l’un d’eux pesait 400 grammes. Ils présentent des signes de cémentation et ne sont donc pas des météores. Une averse de pierres ovales et chaudes étaient tombés par intermittence sur Chico durant 4 mois, la plus part du temps sur les toits de deux entrepôts mitoyens. Les gens regardaient le ciel vide de nuage et apercevaient des rochets tomber tout droit comme s’ils étaient devenu visible en se rapprochant. (Au même endroit tomba une pluie de petits poissons en 1878). | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:18 | |
| Les pluies de glaces
L’exode, chapitre 9, où l’on signale une grêle mortelle mêlée d’éclairs (septième plaie d’Égypte). Pendant le règne de charlemagne ( FF ), un gigantesque bloc de glace de 30 mètres cube serait tombé du ciel. Le vendredi 17 mai 1552 entre 4 et 5 heures de l’après midi, il y eut un orage particulièrement violent à Dordrecht, qui terrorisa les gens dans leur maison comme si c’était la fin du monde. Pendant une demi-heure il y eut un bombardement régulier (de grêlon) horrible et tous les vergers et potagers furent détruits. Certains grêlons avaient une taille gigantesque et une forme particulière et des centaines de personnes les ont vus. Plusieurs avait une forme naturelle de soleil, sut d’autres on voyait une couronne d’épine. Certains pesaient jusqu'à une demi-livre. En fondant l’odeur de ces grêlons était celle de l’eau qui bout. Cette grêle fut suivit un nuage nauséabond. Le 26 août 1834, une pluie de grêle assez particulière tomba sur Padoue en Italie. Certains grêlons étaient d’une épaisseur de 2,5 cm et aplatis. Sur la surface de certain d’entres eux, on pouvait voir des plaques, rectilignes ou courbes, transparentes ou non, tandis que la surface opposée, à un angle d’environ 45 degrés, poussaient des cristaux à quatre côtés de 3 centimètres, attachés à leur base et surmontés d’une pyramide à quatre pans. D’autres plaques de glaces étaient convexes des deux cotés, de dessin irrégulier, et comportaient des cristaux de quatre cotés rudimentaires. D’autres encore étaient circulaires ou elliptiques et formaient des couches concentriques tour à tours de glace transparente et opaque. Au centre se trouvait un noyau blanc opaque. Le diamètre des objets dans ce groupe moins régulier allait de 3 à 10 centimètres. On trouva enfin des morceaux de glace plus épais sur les bords qu’au milieu. Les bords étaient marqués par 3 à 5 couches de glace opaque et transparente. Au centre de ces plaques, il y avait des cercles blanchâtres autour d’un noyau plus clair, qui, en fondant avec le reste, transformait le glaçon en anneau. Le diamètre de ces derniers allait de 3 à 7 centimètres. Le 11 mai 1894, pendant une violente tempête de grêle, une tortue prise dans la glace tomba près de Vicksburg, dans le Mississipi. Un petit bol d’albâtre, également pris dans la glace tomba sur Vicksburg lors de la même tempête. Le 3 juin 1894, une tornade, dans l’Oregon de l’Est, sema des plaques de glace. Elles formaient des carrés de 8 à 15 centimètres de cotés et d’une épaisseur de 2 à 3 centimètres. « Elles présentaient une surface lisse et donnaient en tombant, l’impression d’une vaste étendue de glace, comme une feuille suspendue en l’air, qui se brisait d’un coup en morceau grand comme la main. En 1901, toute une série d’étrange grêlon tomba lors d’une tempête sur le Saint-Laurent, près Alexandria Bay, dans l’état de new York. Ils étaient tout d’abord cylindrique, de la taille d’un crayon, et long de 1 cm. Puis tombèrent des cailloux de la taille d’une noix, suivies de grêlon en forme de disque, épais de 5 cm et d’un diamètre de 8 cm. Ils étaient durent au point de rebondir sur la pierre sans se briser et, une fois à demi-fondus, ils avaient l’apparence d’un œil humain « une pupille entourée d’un anneau avec des lignes fines rayonnant dans toute les directions ». « Durant la tempête, le fleuve avait un aspect splendide, avec des milliers de fontaines miniatures de 30 cm à 2 m, s’élevant là où tombaient les grêlons.» En 1908, le soir du dimanche de la trinité, le curé de Saint-Étienne-lès-Remiremont, dans les Vosges, était concentré sur « un gros traité de géologie » et venait de finir quelques pages sur la formation de la glace, quand Mlle André l’appela : M. le curé venez vite, ils fondent ! Elle lui présenta des grêlons qu’elle disait imprimée de l’image de Notre Dame du Trésor. Le curé lui dit que cela était ridicule, mais la femme lui pria de mettre ses lunettes et de regarder, ce que le curé « pour lui faire plaisir » fit. Il vit à la surface des grêlons, qui étaient légèrement convexes, le buste d’une femme avec une chape retournée en bas, comme celle d’un prêtre. « Il serait plus juste de dire, peut être qu’elle était comme la vierge des Ermites » précisa plus tard le curé. Le contour de l’image était légèrement creux, comme si elle avait été imprimée d’un coup, mais fermement dessinée. Lorsqu’on lui demanda de regarder attentivement certains détails de la robe, le curé refusa d’en voir d’avantage en prétendant que les grêlons était tombé sur des légumes qui leur avait imprimé ces dessins. Il avait « honte de s’être laissé aller » et voulu que l’on emportât les grêlons. Cependant, quelques instants plus tard, n’ayant pas l’esprit tranquille, le curé allant ramasser trois grêlons et les pesa. Ils faisaient entre 160 et 180 grammes. L’un était parfaitement sphérique comme une balle d’enfant et portait une couture comme s’il avait été moulé (Les grêlons porte souvent ce genre de marque). Le curé après son dîné, alla constater les dégâts qu’avait subit son jardin et vit les légumes en bon état, mais il sut ultérieurement que la grêle avait brisé quelques 1400 vitres dans la région. Deux sortes de grêlons sembla être tombé ce jour là : Une portant l’image miraculeuse, et une autre grosse et destructrice. Le dimanche suivant après les vêpres, le curé recueillit cinquante signatures de personnes « absolument convaincues de la vérité de leur observation » et l’on précisa que cela avait été fait spontanément. Le curé conclu en précisant que bien que le conseil municipal de Remiremont eu interdit « une magnifique procession qui était en préparation » pour le dimanche de la trinité, l’artillerie céleste en avait accompli une verticale que personne n’oublierait. Le 10 janvier 1951, un charpentier qui travaillait sur le toit de sa maison, près de Düssedorf , en Allemagne, mourut après être transpercé par un javelot glacé (ou autrement dit stalactite de glace) de 1,82mde long et de 15cm de diamètre, tombé du ciel. | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:19 | |
| Les pluies d’animaux
Les témoignages anciens sont moins nombreux que ceux des temps modernes, mais aussi divers. L’historien grec Athénée, par exemple, signale une pluie de poissons ayant durée trois jours et un spectaculaire déluge de grenouilles : « Je sais qu’il y a souvent eu des pluies de poissons […] les gens on souvent vu pleuvoir des poissons et même aussi du blé et que la même chose s’est produite avec des grenouilles. […] On dit qu’il a plu, en Paeonie et en Dardanie, des grenouilles ; et leur nombre était tel que les maisons et les routes en étaient recouvertes ; tout d’abord, pendant quelques jours, après avoir tenté de les tuer, les habitants supportèrent cette calamité et fermèrent leurs maisons ; mais cela ne changea rien, car on retrouvait des grenouilles jusque dans les pots et la vaisselle, elles cuisaient avec les aliments qu’il mangeaient, et ils ne pouvaient se servir d’eau, ni mettre le pied au sol tant il était couvert de grenouilles ; l’odeur de celles qui mouraient était affreuse, et ils fuirent le pays. » Cette histoire rappel bien sur, le récit de la deuxième plaie d’Égypte de l’Exode. Au IVe siècle av. J.-C., le philosophe grec Théophraste nie l’existence des pluies de crapauds en expliquant simplement que les crapauds ne tombent pas avec la pluie, mais que c’est la pluie qui les fait sortir de terre. Au XVIe siècle, Reginald Scot avance une première hypothèse. Selon lui « il est certain que certaines créatures sont générées spontanément, et n'ont pas besoin de parents. Par exemple, [...] ces grenouilles venues de nulle part. Elles sont transportées par la pluie. Ces créatures grandissent d'elles-mêmes et naissent des averses... » 7 Au XIXe siècle, certains imaginèrent que l'évaporation des eaux faisait monter les œufs de grenouilles dans les nuages où ils éclosaient avant de redescendre sur terre dans l'averse. Le mercredi précédant Pâque 1666, un champ de deux acres à Cranstead dans le Kent, en Angleterre, fut trouvé recouvert d’innombrables poissons de la taille du petit doigt d’un homme. Tous ceux qui les virent parlèrent de jeunes merlans, qui sont des poissons de mer, or, le champ se trouve à 11 kilomètres de l’étendu d’eau la plus proche. Le naturaliste allemand, Alexander Von Humboldt, qui voyagea beaucoup en Amérique du sud. Lorsque les séismes qui précèdent chaque éruption dans la chaîne des Ande secouent avec violence toute la masse du volcan, les voûtes souterraines sont ouvertes et du coup émettent de l’eau, des poissons et de la boue de tuf. Tel est le phénomène singulier qui fournit en poisson les habitants de Quito ; ils l’appellent « preñadilla ». Lorsque explosa, à 6000 mètres d’altitude, le sommet du Carguairazo dans la nuit du 19 au 20 juin, les champs environnants, sur une superficie de 12000hectares, furent recouverts de boue et de poissons. Le 5 mai 1786, dernier jour d’une sécheresse qui durait depuis novembre, une grande quantité d’œufs noirs tombèrent sur Port-au-Prince, à Haïti. Ils arrivèrent à éclosion le lendemain et certains de ces animaux tombés du ciel furent conservés dans une bouteille d’eau. Les créatures changèrent de peau à plusieurs reprises ; elles ressemblaient à des têtards. Il faisait très chaud. Soudain, vers 3h de l’après-midi, il tomba une telle abondance de pluie que 150 hommes de la grande garde furent obligés de quitter la dépression qu’ils occupaient pour ne pas être noyés. Mais quelle ne fut pas leur surprise lorsqu’ils virent qu’avec l’eau tombaient d’innombrables crapauds, de la taille d’une châtaigne. M.Gayet étendit son mouchoir tenu par un camarade aux deux autres coins à hauteur d’homme. Il attrapèrent ainsi grand nombre de crapauds dont la plus part avait la partie postérieure allongée, c'est-à-dire à l’état de têtard. Ce déluge dura environ une demi-heure et M.Gayet ajoute comme preuve finale, qu’ils retrouvèrent après la tempête, des bestioles dans les replis de leurs tricornes. Le 23 juin 1809, M.Mauduy, conservateur au musé d’Histoire naturelle de Poitiers, se trouva pris dans une forte tempête de pluie. Il distingua au milieu de l’eau « des petits corps de la taille d’une châtaigne et qui recouvrir le sol » qu’il identifia comme de petits crapauds En août 1814, après plusieurs jours de sécheresse et de chaleur, une tempête éclata un dimanche vers 15h30 au-dessus du village de Frémontiers, près d’Amiens. Cette tempête fut précédée de rafales de vents d’une tel violence qu’elles secouèrent l’église au point défrayer la congrégation. Nous fûmes trempés rien que de traverser l’espace séparant l’église du presbytère ; mais se qui me surprit fut de recevoir sur ma personne et mes vêtements, une averse de petites grenouilles. […] Un grand nombre de ces animaux sautillait de-ci de-là sur le sol. En arrivant dans le presbytère, nous trouvâmes, sur le planché d’une pièce dont la fenêtre, restée ouverte, faisait face à la tempête, une grande flaque d’eau et des grenouilles. (Rapport envoyé à l’institut de France par M.Duparque.) Après une période de vents soufflant une tempête suivie d’une forte pluie, des harengs de 3 à 9 centimètres, éparpillés sur le sol moussu près du ferry de Shien, en Ecosse. Le loch Creran ne se trouve qu’a 300m de cet endroit, mais au sud ; or les vents violent avaient soufflé du nord, et on supposa que les harengs étaient venu du loch Linnhe, à 5 kilomètres au nord, après avoir franchi une lande à 100m au-dessus du niveau de la mer. Les poissons ne portaient néanmoins aucune marque de choc, et rien n’indiquait que de l’eau était tombée en même temps qu’eux. En 1821, une pluie de harengs tomba sur une colline au-dessus de Melfort House, près d’Argyllshire, en Ecosse. Les poissons étaient grands et de bonne qualité, et les gens du pays en envoyèrent à Edimbourg chez leurs patrons. Le temps était extrêmement turbulent. Les vents dominants, dans cette région, soufflent du loch Melfort en direction des collines en question. Le loch Melfort est un bras de mer, et l’un des rares endroits en Ecosse où le hareng peut-être attraper à la mouche, ce qui prouve qu’ils nagent fréquemment en surface. En 1828, après 10 à 12 jours de pluie, on retrouva dans un fossé partiellement creusé sur un terrain appartenant à Joseph Muse, de Cambridge, au Maryland, des centaines de poissons de 10 à 15 centimètres de long, des perches-soleil. Il n’y avait encore jamais eu d’eau dans ce fossé avant les pluies, et il n’était pas relié à la rivière la plus proche (à 1,5Km de la), laquelle se trouvait de toute façon à 3 m en contrebas. le 19 février 1830, de gros poissons tombèrent du ciel à Faridpour, en Inde. Le compte rendu suivant est un extrait parmi neuf témoignages oculaires déposés en bengali (deux ici): « J’étais au travail dans un champ, lorsque vers midi je vis monter l’orage ; il commença à pleuvoir légèrement, et un gros poisson me toucha au dos et tomba à terre. Surpris, je regardais autour de moi, et vis d’autres poissons tomber du ciel. C’était de saul, sale, guzal, mirgal et bodul [espèces locales]. Je pris dix ou onze poissons et je vis que d’autres autour de moi en prenaient beaucoup. » « Le vendredi à midi, pendant le mois de Phalgun […] tandis que je travaillais aux champs, je vis des nuages noircir le ciel ; il commença à pleuvoir un peu, et un gros poisson tomba du ciel. J’étais stupéfait et je me réfugiais tout d’abord dans la petite cabane que j’avais là ; j’en ressortis dès que la pluie cessa, et trouvais des poissons éparpillés tout au tour de la hutte ; Il y en avait de plusieurs sortes, et vingt-cinq en tout. » En juillet 1841, des centaines de petits poissons et de grenouilles tombèrent avec du grésil sur la ville de Derby en Angleterre, durant un orage accompagné de pluies torrentielles. Les poissons mesuraient de 1 à 5 centimètres ; les grenouilles avaient la taille de haricots, et certaines survécurent à une chute sur la chaussée ; On en garda quelques-unes vivantes, qui parurent « prendre plaisir à vivre dans leur bocal d’eau et de feuilles ». Le 9 février 1859, John Lewis, un scieur de long de Mountain Ash dans le Glamogranshire au Pays de Galles, raconte une pluie de poisson tombée sur son village. Alors qu’il était en train de préparer une grume pour le sciage quelque chose lui tomba sur la tête, la nuque et le dos. Il compris en voyant le sol alentour couvert de petits poissons. Selon lui, ils recouvraient le sol, sautaient partout, remplissaient les rebords de son chapeau, recouvraient le sol sur une bande mesurée de 12m sur 8 et un hangars dont les gouttières débordaient. Des pelletées on été ramassées. Il y eut deux averses de deux minutes à dix minutes d’intervalles. Le temps était humide un vent « assez fort tout de même » soufflait du nord-ouest. Les poissons étaient tombés comme un seul corps. Le plus gros faisait 12cm de long et mourut rapidement. Une vingtaine de spécimens (le plus long faisait 10cm) furent envoyés à un certain docteur Owen… En juillet 1860, à Norfolk en Angleterre, W. Winter et deux autres personnes disent avoir été surprit par une pluie de petits crapauds « qui tombaient par millier » et Mr. Winter pu en attraper aisément dans un filet. Le 16 février 1861, à Singapour, (voir image) un séisme se fit ressentir et une pluie tomba à sa suite. Du 20 au 22 février, elles devinrent torrentielles. Francis de Castelnau un éminent naturaliste en à été le témoin oculaire. Il raconte que les poissons tombèrent du ciel et formèrent une couche sur le sol. Il en mesura de 25 à 30cm et les identifia comme étant des Clarias batrachi (une sorte de poisson-chat) adultes. Un vieux malais lui raconta qu’il avait déjà assisté à pareil phénomène durant sa jeunesse. En août 1870, un déluge de « lézard d’eau » tomba à Sacramento en Californie. Mesurant de 15 à 20 centimètres, ils recouvrirent le toit de l’opéra et grouillaient sur la chaussée. Des centaines d’entre eux survécurent des jours dans l’eau de pluie qui avait envahit la cave d’un certain juge Spicer. En 1871, des créatures non identifiées, apparemment au stade larvaire, prise dans une substance gélatineuse, tombèrent sur la ville de bath en Angleterre, pendant une violente tempête de pluie et de grêle. Elles faisaient 4cm de long (examinée sous des lentilles puissantes, elles avaient « un corps en forme de tonneau », et le mouvement de leurs viscères était parfaitement visible. Ils avaient des têtes de sauterelles et des nageoires pectorales et caudales « comme des pieds » Durant l’hiver 1891, à plusieurs reprises, la population de Valey Bend, en Virginie, trouva la neige recouverte d’une épaisse couche de vers. Etant donné qu’il y avait 60 centimètres de neige sous une croûte durcie, on en conclut logiquement que les vers était tombés du ciel avec la dernière neige. Ils ressemblaient à des « vers de moisson » ordinaire (une chenille nocturne) et était si abondante que certains jours, il n’y avait pas un mètre carré de neige sans une douzaine d’entre eux. Le 30 juin 1892, lors d’une tempête, des grenouilles blanches tombèrent sur Moseley, une banlieue de Birmingham, en Angleterre. Durant un orage, un petit nuage jaune passa rapidement au-dessus de Paderborn, en Allemagne fédérale et y laissa tomber une bruyante pluie de moules d’eau douce. En novembre 1896, un déluge matinal d’oiseaux morts tomba sur Bâton Rouge en Louisiane. « Ils encombraient littéralement les rues de la ville ; il y avait des canards sauvages, des oiseaux-moqueurs, des pics et beaucoup d’autres au plumage étrange, dont certains ressemblaient à des canaris, mais tous morts et s’entassant dans les rues… » La seule explication plausible avancée fut que les oiseaux avaient été poussés vers l’intérieur des terres par une tempête récente en Floride, avaient été tués par un brusque changement de température dans la région de Bâton Rouge. Tempêtes et changements de températures sont choses courantes : les pluies d’oiseaux morts non. En juin 1901, c’est par centaines que de petit poissons chats, des truites et des perches tombèrent pendant une forte pluie à Tyler’s Ferry, en Caroline du Sud. En mai 1917, une averse de crapaud de dix minutes fut observée à Jouy-en-Josas, près de Versailles, pendant dix minutes, par M. Heard. Ils rebondissaient sur son parapluie, sautillaient sur le trottoir, et étaient aussi nombreux que les gouttes de pluie. Il en vit sur 400m. Le 24 août 1918, plusieurs centaines d’anguilles des sables (Ammodytes tobianus) sont tombées près de Sunderland, en Angleterre, dans une zone d’environ 1500 mètres carrés. Il y avait eu une pluie violente et les poissons étaient non seulement morts lorsqu’on les ramassa mais raides et durs. En 1922, pendant une violente tempête de neige « des milliers d’insecte exotiques ressemblant à des chenilles, des araignées et de grosses fourmis, tombèrent en grand nombre sur les Alpes suisses. Le 16 juin 1939, dans l’après-midi, de minuscules grenouilles tombèrent par milliers sur Trowbridge, en Angleterre, lors d’une averse. Le 23 octobre 1947, entre 7 et 8 heures du matin, des poissons d’eau douce tombèrent en grand nombre sur Marksville, en Louisiane. Le temps était alors calme et brumeux ; les poissons (des ashigans, des perches soleil, des aloses et des épinoches) « étaient parfaitement frais et aptes à être consommés ». Certains étaient gelés, d’autre tout simplement froids. Ils tombèrent sur une zone de 300m de long sur un peu moins de 30m de large, et certains heurtèrent des piétons. Il ne pleuvait pas ce jour là et aucune tornade importante n’avait été signalée dans les environs ; des tornades miniature (« poussières du diable ») avaient été observées la veille. Le 7 septembre 1953, une averse de grenouille tomba sur Leicester, au Massachusetts. L’avenue Paxton en était recouverte et les enfants en ramassaient de pleins sceaux avec les mains ont en trouva beaucoup sur les toits et dans les gouttières. Le 18 août 1961, des tonnes de puffins noirs, morts ou blessés, tombèrent sur la côte californienne tout le long de la baie de Monterey. Plages, routes, toits, lignes électriques, palissades, et antennes télés recelaient de cadavres de 40cm et de 1,50m d’envergure. Ceux qui étaient morts l’étaient de la chute. Plusieurs milliers d’autres, incapables de voler, furent remis sur l’eau et la majeure partie guérirent. En janvier 1969, sans que l’on sache pourquoi, des centaines de canards de différentes espèces moururent ou furent grièvement blessées en vol d’hémorragies et d’os brisés avant de s’écraser sur Mary City, Maryland. En 1978, il plut des crevettes en Nouvelle Galles du Sud, Australie. En 1859, un témoin d'une pluie de poissons à Moutain Ash, au Pays de Galles, envoie un spécimen au zoo de Londres, et le directeur du British Museum, J. E. Gray, déclare « À la lumière des faits, il semble que le plus probable est qu'il ne s'agisse que d'une blague : l'un des employés de Mr. Nixon a renversé un seau d'eau rempli de poissons sur l'autre, ce dernier pensant alors qu'ils tombaient du ciel. » En 1989, un couple australien du Queensland affirme avoir ramassé 600 petites sardines dans le jardin après une ondée. En août 2000, c'est la ville de Great Yarmouth, dans la région du Norfolk en Angleterre qui a été victime d'une averse poissonnière. En 2002, les poissons pleuvent en Grèce. Le journal Le Monde note : « Il ne fait pas toujours beau à Athènes certes. Et pas davantage dans les montagnes du nord de la Grèce. Mais les orages y ont le bon goût parfois d'aider au sourire et à la rêverie. À Korona, village haut perché, il a plu, mardi, des centaines de petits poissons. » | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:20 | |
| Les pluies de viande et de sang
Depuis l'Antiquité, les récits de pluies de sang ou de produits à base de sang jalonnent l'histoire. Plus rares sont les chutes de morceaux de viande; l'une, dans le Kentucky, est citée par le Scientific American de mars 1876 et déclenche une polémique parmi les savants. Une autre, le 27 août 1968, accompagnée d'une pluie de sang et s'étendant sur un kilomètre carré, est rapportée par les journaux brésiliens. Ces cas diffèrent des pluies colorées, tout à fait explicables. Le 20 juillet 1851, au camp militaire de Benicia, près de San Francisco, les soldats reçurent une averse de pluie de sang et de morceaux de viande, au court d’un exercice. Le médecin militaire qui examina les échantillons allant « de la taille d’un œuf de pigeon à celle d’une orange » remarqua certains morceaux avariés. Le premier août 1869, de la chaire et du sang tombèrent pendant deux minutes, recouvrant près d’un hectare de terrain dans une ferme de Los Nietos en Californie. Il faisait une belle journée sans vent, et la chaire se présentait sous de menus fragments, formant des bandes de 3 à 15 cm de long. Il y avait aussi des poils fin et courts. Un phénomène semblable se serait produit deux mois plus tôt dans le conté de Santa Clara. Le vendredi 3 mars 1876, des morceaux de viande tombèrent sur une zone de 100m de long sur 50 de large, près du domicile d’Allen Crouch, dans les environs d’Olympian Springs, au Kentucky. Le ciel était sans nuages. Les morceaux mesuraient quelques centimètres carrés et ressemblaient à du bœuf frais. Néanmoins, d’après deux « gentleman » qui y goûtèrent, il s’agissait de mouton ou de gibier. Un certain Brandeis expliqua en juillet dans le Sanitarian, que la substance était du nostoc (une forme inférieure de vie végétale). Cette explication ne pu tenir longtemps. Les échantillons (de Mr Brandeis notamment) furent examinés par le Dr Mead Edwards, président de l’association scientifique du Newark, le professeur Chandler, le Dr Hamilton, le Dr Arnold. Le 27 août 1968, du sang et de la chaire tombèrent sur deux hectares entre São José dos Campos et Cacapava, au Brésil. | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:23 | |
| Les pluies de végétaux
En 1827, des graines de lierre furent trouvés dans les grêlons tombés à Wiltshire en Angleterre. Par un jour de juillet, des paysans du pays de galles virent une demi-tonne de foin voguer dans le vent ; il en tomba par poignées. Dans la nuit du 9 mai 1867 à Dublin, des policiers durent s’abriter d’une avalanche de noix ou de baies qui tombait du ciel « en grande quantité et avec beaucoup de force », pendant « une pluie diluvienne ». Les « baies » auraient eu « la forme de petites oranges d’un peu plus d’un centimètre de diamètre, de couleur noire, et donnaient l’impression d’être faite d’un bois dur si on les coupait en deux. Elles dégageaient aussi une légère odeur aromatique. » D’après un second témoin, il s’agissait tout simplement de noisettes préservées depuis de nombreuses années dans une fondrière. Il n’expliqua pas pour autant comment elles étaient tombées du ciel. En octobre 1890, par un jour de pluie et d’éclaircies d’octobre, un étrange événement se passa à Penpoint, en Ecosse. Mrs.Wright se promenait dans une région de collines lorsqu’elle fut frappée par un étrange phénomène dans l’air. Elle pris tout d’abord cela pour un vol d’oiseau mais une fois qu’elle fut montée, poussée par la curiosité, au sommet d’une colline vers le lequel se dirigeait la masse, elle vit qu’il s’agissait de feuilles de chêne. Leur nuage obscurcissait le ciel, elles descendaient presque verticalement, oscillant et brillant au soleil. « Le spectacle était aussi beau que rare ». Après l’événement, l’examen des collines montra que la chute s’était produite sur une bande de trois kilomètres de long sur trois kilomètres de large. Uniquement des feuilles de chêne, et le bois le plus proche se trouve à 12 kilomètres de là. Le 12 juillet 1961, des charpentiers travaillant à Shreveport, Louisiane, durent s’abriter d’une pluie de pêches vertes de la taille d’une balle de golf et semblaient tombées d’un épais nuage. Selon le bureau local de météo aucune perturbation n’était suffisante pour dépasser ainsi les fruits.
En 1957, tomba sur Bourges des « milliers » de billets de 1000francs. Nul ne réclama cet argent. En 1976, des billets de banques atteignant une valeur de 2000 Mark, atterrirent sur Limbourg, en Allemagne de l’Ouest, et furent ramassée par deux prêtres. | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
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| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:23 | |
| Les pluies d’argent
En août 1940, un grand nombre de pièces d’argent tombèrent en Russie centrale pendant une tempête. En 1956, des pièces d’un penny et d’un demi-penny tombèrent autour d’enfant en plein jeu dans une école des faubourgs de Bristol, en Angleterre. | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
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| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:24 | |
| Les pluies d’autres substances et objets
D’anciens historiens comme Procope, Marcellinus, Théophane, font état d’une pluie de poussière noire en l’an 472 av. J.-C., pendant la quelle le ciel paraissait en feu. Le lieu de l’averse n’est pas certain, mais il pourrait s’agir de Constantinople. En juin 1642, des morceaux de soufre brûlant, de la taille d’un poing, tombèrent du ciel sur le toit du château de Loburg (Allemagne orientale). Le 23 mars 1665, une substance fibreuse semblable à de la soie bleue tomba en grande quantité à Naumburg, en Allemagne orientale,. Vers 1687, des flocons d’un matériau fibreux, noir comme du charbon, tombèrent, sur la neige fraîche, à Memel, en lituanie. Les flocons étaient humides, sentaient l’algue pourrie et se déchiraient comme du papier. Une fois secs, ils n’avaient plus d’odeur. Certains ont été conservés cent cinquante ans ; à l’examen, on trouva qu’ils étaient constitués en partie « de matière végétale, essentiellement Conferva Crispata [une algue verte filandreuse] et de 29 espèces différentes d’infusoires [de minuscules protozoaires] ». Durant l’hiver et le printemps 1696, une substance nauséabonde, de la consistance du beurre, tomba sur un vaste territoire dans le sud de l’Irlande. D’après l’évêque de Cloyne, cette « rosée puante » tombait par petits paquets de la grosseur du bout du doigt. Elle était « molle, humide, et d’une couleur jaune foncé ». Dans les champs, le bétail continuait à paître comme si de rien n’était. D’après Mr. Robert Vans, de Kilkenny, la population locale vit dans des pots. Un globe de feu tomba sur l’île de Lethy, en Inde ; on trouva de la matière gélatineuse au point de chute. Une substance connue sous le nom de « cheveux d’ange » est déjà mentionnée dans The Natural History Of Selborne par Gilbert White. Il décrit comment, le 21 septembre 1741, parti dans les champs avant l’aube, il trouva l’herbe recouverte d’une telle épaisseur de « toiles d’araignées » que son chien n’arrêtait pas de se frotter les yeux. Puis, vers9 heures, il se passa quelque chose de très bizarre : Une averse de toile d’araignée tombant de régions très élevées et qui continua sans interruption jusqu’au crépuscule. Ces toiles n’étaient pas de simples fils agglomérés, flottant dans toutes les directions, mais formaient des flocons parfaits, larges de plus de deux centimètres et longs de 15, tombant très vite, comme s’ils étaient beaucoup plus lourds que l’air. De quelque coté que tourna les yeux, on voyait tomber constamment de nouveaux flocons, scintillants comme des étoiles quand ils se tournaient dans le soleil. On ne sait pas exactement quel territoire couvrit cette averse ; mais elle toucha Bradley, Selborne et Alresford, qui forme un triangle dont le plus petit coté fait 12Km. Le 21 janvier 1803, une étoile filante vint tombé en Silésie, entre Barsdorf et Freiburg ; elle avait une trajectoire oblique, et les témoins entendirent un sifflement quand elle passa. La météorite parut continuer à brûler quelques temps sur le sol, et le point d’impact fut facile à repérer. Le matin, on trouva une masse gélatineuse dans la neige au point de chute. Le compte rendu de l’incident ne précise ni le moment de la chute de neige ni la présence du moindre signe de neige fondue aux alentours de la météorite. Le 13 août 1819, un objet nauséabond, recouvert d’une sorte de toile, tomba à Amherst, dans le Massachusetts,. Il fut examiné par le professeur Rufus Graves, qui hotta la toile et découvrit une substance pulpeuse, couleur chamois, en dessous. Exposée à l’air, cette substance prit une teinte livide, semblable à « du sang veineux ». L’objet serait tombé avec un éclat lumineux. Le 2 novembre 1819, une pluie rouge tomba sur Blankenberge, en Belgique. Ces pluies, dit-on contiendrait un sable rouge très fin emporté par le vent ; mais lorsqu’on réduisit par évaporation 144 onces de cette pluie à 4, il n’y avait toujours pas de sable. Un examen révéla la présence de chlorure de cobalt, mais le rapport ne donne aucune explication sur les raisons de cette présence dans l’eau de pluie. En octobre 1820, des averses de substance soyeuse se produisirent près de Pernambouc, au Brésil, sur plus de 200 Km carrés à l’intérieur des terres, et en mer, où un bateau français se trouva encoconné. En 1828, dans plusieurs districts Perse, la terre se trouva recouverte sur une épaisseur de 15 à 20 centimètres d’une matière que le bétail dévora avec enthousiasme. En mars 1832, une substance jaune tomba sur les champs, près de Volokolamsk, en Russie. Les habitants pensèrent tout d’abord à de la neige décolorée, pour découvrir rapidement que le matériau ressemblait beaucoup à du coton. On en mit un morceau dans du feu, où il brûla avec une flamme bleue ; on en mit un autre à tremper dans l’eau, où il devint comme résineux ; placé alors sur le feu, il se mit à bouillir et a faire des bulles, mais ne brûla pas. La résine était couleur d’ambre, avec une texture gommeuse, et sentait « l’huile mélangée à la cire ». La zone recouverte faisait environ 70m carrés, sur 5 centimètres d’épaisseur. Le 13 novembre 1833, à l’endroit où les citoyens de Rahway, dans le New Jersey, virent tomber une « pluie de feu », ils trouvèrent des « blocs de gelée ». Une femme qui trayait une vache à West Point, le même jour, vit quelque chose atterrir près d’elle avec un bruit mou. C’était une masse aplatie de la taille d’une soucoupe, parfaitement transparente. Cela se passait au levé du soleil. Lorsque vers dix heures elle alla chercher des gens pour la leur montrer, elle ne retrouva plus rien. A la place, un garçon trouva de petites particules blanches de la taille d’une tête d’épingle, qui tombèrent en poudre et disparurent lorsqu’il essaya de s’en saisir. Ces incidents furent signalés en relation avec une pluie de météores qui se produisit au-dessus des Etats de l’Est des états unis, le 13 novembre. Le matin du 14 février 1840, une substance jaunâtre tomba sur Gênes, en Italie. Analysée par deux professeurs de l’institut technique de Gênes, elle se révéla constituée à 66% de sable de type siliceux avec un peu d’argile, de 15% d’oxyde de fer, de 9% de carbonade de chaux, de 7% de matière organique et de 3% d’eau. La matière organique Le 16 mai 1846, une poudre couleur vert-gris tomba sur Shanghai. Elle parurent tout d’abord, sous le microscope, être constituées de deux types de poils. Observée avec un appareil plus puissant, on déclara qu’elle était composée de confervae, une sorte d’algue. Néanmoins, lorsque l’on brûla les fibres elles dégagèrent « l’habituelle odeur d’ammoniaque et la même fumée que les cheveux ou la plume ». D’après le rapport, la chute s’étendit sur une superficie de 8000 kilomètres carrés. En 1846, des fragments d’une matière grise, résineuse, sans odeur, de la taille d(une noix, tombèrent à Vilna en Lituanie, durant une averse. Brûlée, cette matière dégagea une odeur douce et pénétrante. Au bout de 24h de trempage dans l’eau, elle avait considérable ment gonflé et paraissait complètement gélatineuse. Le 11 novembre 1846, un objet lumineux dont on estima la taille à 1,20m de diamètre tomba à Loweville aux Etats unis (Etat de New York). On découvrit après sa chute qu’il avait laissé un tas de gelée nauséabonde. En 1849, immédiatement après un violent et assourdissant coup de tonnerre, un bloc de glace de 7m de diamètre et « d’une épaisseur en proportion » tomba sur la ferme de Balvullich, près du village d’Ord, sur l’île de Skye en Ecosse. La glace était presque parfaitement transparente et composée de cristaux en forme carrée ou en tête de diamants, de 8cm. Le phénomène ne fut cependant pas accompagné de grêle ou de pluie. Le 17 juin 1857, un fermier d’Ottawa dans l’Illinois, entendit un sifflement et, levant les yeux, vit une pluie d’escarbilles se dirigeant vers le sol. Elles atterrirent à 20m de lui dans un nuage de vapeur. Les plus grosses étaient presque complètement enterré, les plus petites à moitié. M. Bradley remarqua un petit nuage noir et dense, suspendu au-dessus du jardin. Si le temps était à la pluie, il n’y avait eu ni éclair, ni tonnerre. Les nuits des 2 et 11 septembre 1857, une pluie de Candi fut enregistrée dans le comté des lacs en Californie. « Une pluie de candi ou de sucre se seraient produites ces deux nuits là. Les cristaux faisaient quelques millimètres de longueur. Certaines des dames en firent de la mélasse ». Le 18 octobre 1867, on aurait dit que du feu tombait du ciel comme de la pluie, pendant 10 minutes à Tames Ditton, en Angleterre. Au matin les flaques et les tonneaux sous les descentes étaient recouvert d’un épais dépôt de souffre. Le matin du 14 février1870, une substance jaunâtre tomba sur Gênes, en Italie. Analysée par de professeurs de l’institut technique de la ville. Elle se révéla constituée d’environ 66% de sable (de type siliceux avec un peu d’argile),de 15% d’oxyde de fer, de 9% de carbonate de chaux, de 7% de matière organique et le reste d’eau. La matière organique contenait des particules ressemblant à des spores, des grains d’amidon et des fragments de diatomée, ainsi que des globules non identifiés d’un bleu de cobalt. Le 21 mars 1898, quelque chose décrit comme « une pluie de souffre » tomba sur Mount Vernon, dans le Kentucky, ainsi que dans le conté de Rockcastle. La substance téait inflammable et sentait le souffre. Le 21 novembre 1898, de grande quantité d’une substance ressemblant à des toiles d’araignée, mais en fait d’avantage voisine à l’amiante par sa structure, tomba sur Mongomery, en Alabama. Une partie était en flocon et l’autre en tresse de plusieurs centimètre de large ou de long. Le plus curieux était l’aspect phosphorescent de la substance. Le 11 avril 1925, une boule de calcaire tomba du ciel près de Bleckenstad, en Suède. En touchant le sol, elle éclata en plusieurs fragments dans lesquelles on trouva des fossiles et la trace de d’une créature ressemblant à un trilobite, selon le professeur Hadding de l’université de Lund. Dans la nuit du 26 septembre 1950, les officiers de police John Collins et Joe Keenan, roulaient dans Philadelphie en voiture de patrouille. Comme ils descendaient une rue paisible près de Vare Avenue, leurs phares éclairèrent un étrange objet scintillant qui semblait en train de se poser dans un terrain vague, à un demi-pâté de maison d’eux. Une fois sur place, leur torches électriques leur révélèrent un disque bombé de gelée pourpre, tremblotante, de 1,80m de diamètre, de 30cm au centre et de 3cm sur les bords. Ils avaient l’étrange impression que la chose était vivante. Ils éteignirent leur lampe et virent quelle dégageait une faible lueur pourpre. Sur un appel radio, il furent rejoint par le sergent Joe Cook et James Cooper. Cook proposa qu’ils tentent de ramasser la chose, mais elle se défie comme de la gélatine entre les doigts de Cooper quand il voulut s’en emparer. Les débris collés à ses doigts s ‘évaporèrent rapidement, ne laissant qu’une écume collante et sans odeur. La chose avait complètement disparu une heure après l’arrivée de Cook et de Cooper. Le 17 octobre 1952, Les habitants d’Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées, aperçurent un objet en forme de cigare, volant selon un angle de 45° au-dessus de leur ville, accompagnés d’une trentaine d’objets plus petits en forme de soucoupe. Dix jours plus tard on vit le même spectacle près de Gaillac. Les deux fois une substance arachnéenne tomba du ciel, qui devint gélatineuse et s’évanouit lorsque l’on voulut la recueillir. Le 22 juillet 1955, à 5h 30 du matin, Ed Mootz travaillait dans son jardin à Cincinnati (Ohio), quand soudain, quelques gouttes d’un liquide chaud et rouge tombèrent sur ses bras et ses mains. En quelques instants il se trouva au milieu d’une pluie rouge. Une protubérance sombre dépassait des nuages au-dessus de lui et c’est de là que tombait la « pluie » rouge, notamment sur un pêcher de son jardin. En levant les yeux, il dit voir « le nuage le plus bizarre que j’aie jamais vu » et selon sa description celui-ci était, bien qu’il ne fut gros, coloré étrangement de vert foncé, de rouge (le même que la pluie), et de rose. De toute évidence la pluie venait de ce nuage. Il l’observa plus d’une minute avant de sentir une vive douleur aux bras « comme si j’avais mis de la térébenthine sur une plaie » et d’aller se laver sérieusement. La pluie en fait, ressemblait à du sang, et était huileuse et collante au toucher. Le matin suivant, Ed Mootz s’aperçut que son pêcher était mort ainsi que l’herbe autour ; tous les jeunes fruits s’étaient desséchés sur leur tige. Il n’y avait aucun avion au moment de la pluie et aucune usine n’aurait pu produire cela, mais l’armée de l’Air américaine ont interrogé M. Mootz et ont prélevé des échantillons d’herbe, de feuille et de fruits. S’ils ont trouvé quelque chose ils l’ont gardé pour eux… Une nuit de février 1958, un trait de lumière troua l’obscurité au-dessus du comté de Westmeath,, en Irlande, et alla atterrir dans un champ ou l’on ne trouva qu’une masse gélatineuse. Un après-midi de novembre 1958, de la pluie tomba pendant 2h 30 sur 2 mètres carrés au domicile de Mme R. Babington à Alexandria, Louisiane. Le ciel était clair et nul ne pu fournir quelques explications que se soit. Le 28 août 1962, alors que Grady Honeycutt pêchait dans un lac près de Concorde, en Caroline du Nord, un globe lumineux tomba lentement dans l’eau. Il s’approcha et découvrit à travers l’eau claire, une sphère scintillante couverte de piquants de la taille d’une boule de bowling. Le temps de prévenir le shérif, la chose avait muté en fouillis de fils. Lorsque des plongeurs du géni militaire vinrent le lendemain, on ne trouva que des bouts d’aluminium comme en jettent les appareils de l’armée de l’Air pour brouiller les radars… Le 10 octobre 1962, le capitaine R.Pape, qui était sur le pont du Roxburgh Castle amarré à Montréal, remarqua que des fils blancs et fins était enroulés au tour du bastingage. Il se déchirait avec difficulté tant il était résistant, et trois ou quatre minutes après que le capitaine l’eut en mains, la substance inconnue avait disparue en totalité. En regardant en l’air, lui et son second virent que des cocons de se même matériau tombait du ciel. Selon eux rien au-dessus ne pouvait en être à l’origine. Durant 1968, un déluge de boue, de verre, de bois et de fragments de poteries tomba quatre sur Pinar del Rio, à Cuba. | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 21 Juin 2007 - 18:26 | |
| Houra j'ai enfin fini de tout tapé! ^^ Voila en attente de vos avis... ps: vous pensez quoi de ma nouvelle sign? | |
| | | jospawn Passionné de paranormal
Age : 38 Date d'inscription : 06/04/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Sam 23 Juin 2007 - 23:22 | |
| Imprésinnant! d'avoir reusie a tapé tout ça lol, non sérieux tout sa est vraiment interresant est passionant, mais y a t'il eu des explications réel ou alors elle reste encore inexpiqué? | |
| | | CryptoMatt Passionné de paranormal
Age : 34 Date d'inscription : 16/06/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Dim 24 Juin 2007 - 9:07 | |
| et il y a u les deux
certain cas son expliquable mais pa les otre
le mystère ne reste pas entier mais pas loin | |
| | | Mysteryheretik <>
Age : 40 Date d'inscription : 03/05/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Dim 24 Juin 2007 - 11:16 | |
| je sais que vers ou j'habiter avant il y avait eu une pluie de sang mais il y a une explication donné
Les Pluies de Sang et les Terreurs d'Autrefois
L'antiquité et le Moyen Age. -Nos aïeux, enclins à voir dans tout phénomène de la nature des présages célestes, regardaient avec terreur les pluies de sang. Homère fait tomber une pluie de sang sur les héros grecs, présage de mort pour eux. Plutarque parle de pluies de sang survenues après des batailles, et les attribue aux vapeurs sanglantes des morts allant se condenser dans les nuages. Il pleut du sang à Rome, lors du meurtre de Tatius. En 582 de notre ère, Grégoire de Tours rapporte qu'il plut du sang à Paris, et que les habitants «dépouillèrent avec horreur» les vêtements qui en étaient tachés. En 754, du sang tombe à Tours, et tache les vêtements en forme de croix. Dix ans plus tard, en Hongrie, une pluie de sang annonce et précède une épidémie de peste. Même pluie sanglante à Brescia, où les gouttes rouges tombent pendant trois jours; la pluie cesse et le pape Adrien II rend le dernier soupir.
Du Moyen Age à nos Jours. -A mesure que se développait l'esprit d'examen, le phénomène terrifiant trouvait des explications de plus en plus proches de la vérité. Le 17 Mars 1669, une pluie de sang tombe à Châtillon-sur-Seine. On reconnaît que cette pluie est formée d'eaux stagnantes et boueuses, enlevées par un tourbillon aux mares des environs. -En 1744, il pleut du sang près de Gènes, à Saint-Pierre d'Arena, la pluie étant mêlée d'une terre rougeâtre provenant de la montagne voisine.
(source techno science)
je pense aussi que certains cas sont explicables et d'autre pas | |
| | | Scarabée fana de paranormal
Age : 38 Date d'inscription : 10/05/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Dim 24 Juin 2007 - 21:14 | |
| Oui, c'est assez flippant, ca serait bien d'avoir des docs vidéos qui montrent ce genre de pluies, et non fake biensur... | |
| | | Guillaumedu76 Passionné de paranormal
Age : 31 Date d'inscription : 21/06/2007
| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES Jeu 28 Juin 2007 - 22:23 | |
| C'est cool les pluie d'argent pkoi pas chez nous :lol!: :lol!: Sa srè cool une pluie de billet de 10 euros !! Ok Ok je sort :lol!: | |
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| Sujet: Re: LES PLUIES MYSTERIEUSES | |
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