[Jeu] La légende Urbaine du Forum

Pour ceux qui connaissent le principe, la Légende Urbaine du forum est écrite pas vous tous!
en effet je commence à vous donner un début de récit, pour écrivez la suite en restant dans l'ambiance, facile!

Vous êtes prêts?


Minuit, l'heure du crime, Sandra et Marc se préparaient joyeusement à leur soirée d'Halloween, leur maquillage était fini, ils allaient bientôt sortir à la quête de friandises et de farces...

Lui, était déguisé en un terrifiant zombi. Une hache en plastique planté dans la tête, et du vrai faut sang en confiture encore tout frai coulait le long de sa joue.
Quand à elle, elle était habillé en ravissante sorcière. Enfin aussi ravissent que peux l'être une sorcière... Avec sa robe déchirée, certainement trouvée dans un magasin spécialisé, son chapeau pointu noir de feutrine, et sans oublié l'incontournable balais, elle avait tout de la terrifiante sorcière. Même la fausse verrue sur nez ....
C'était donc, ainsi vêtus, qu'il franchirent la porte de chez eux, et partirent à l'aventure....

Mark n’avait écouté que d’une oreille les réprobations dont sa mère l’avaient admonesté. Il regarda sa jeune sœur derrière son masque, et lui tendit un seau en forme de citrouille destiné à accueillir nombre de friandises. Il en garda un pour lui-même, et guidant Sarah il avança sur le trottoir en direction de la maison des Andersons, s’épargnant une visite à la vieille Defeo. Tout les enfants du quartier qui parcouraient les rues évitaient avec soin la baraque croulante de la vieille aux chats, redoutant sa sonnette comme la roulette du dentiste. Mark n’avait aucune envie de passer le meilleur jour de l’année à s’entendre répéter les tracas des animaux et ceux qu’avait leur maîtresse avec les éboueurs, rien que pour une simple orange.
Il hâta donc le pas jusqu'à chez Spenser Anderson, son ami de toujours, en traînant Sarah par la main. C’était la première fois qu’elle sortait à la chasse
Depuis que la mère des deux enfants en avait la garde exclusive, Sarah avait eu droit à une protection maternelle excessive. Mais cela était égal à la jeune fille qui ne cessait de regarder à droite et à gauche comme pour saisir le moindre détail avant que l’allure de son frère ne l’en empêchât.
On avait disposé des lampions orange et or, des citrouilles aux yeux flamboyants, des squelettes miniatures et autres compléments décoratifs ayant fait la joie des commerçants.
Mark tourna brusquement à gauche et Sarah en gémit d’agacement. Ils se trouvaient devant une imposante porte blanche, nue de tout ornement. Sarah, de la main où se balançait le sceau encore vide, remit en place son masque de sorcière. Une fois les orifices oculaires ajustés, la fillette pu voir observer une femme à l’allure sévère et à la mine renfrognée, dont on ne pouvait espérer le moindre chocolat. La mère de Spenser était, tout comme son mari, fermement opposé aux festivités du 31 octobre, il avait fallut plusieurs jours avant qu’ils ne concédassent d’affranchir leur fils au profit du sucre et des bêtises.
-Spens t’attendait. Dit-elle sans conviction.
Mark ne fut pas surprit de voir son ami affublé de vêtements semblables à ceux de l’écorcheur de Springwood. En effet Spenser était un fan de Freddy Kruger, tout comme Mark appréciait les Zombies de G.A.Romero. Les deux garçons aimaient les vieux films d’horreur qu’avait laissé le père de Mark et se plaisaient à les regarder à la négligence de sa mère.
Les trois enfants partirent ainsi d’un pas vif, l’une poussée par la gourmandise les autres par une soif de bêtises. On fit fi malgré tout du détestable Mr.Worst de qui les jeunes n’auraient rien tiré de bon, et on fit une brève halte devant les restes de « la maison brûlée » (comme la nommait Sarah).
En effet, l’année précédente un incendie avait engendré l’effondrement de la battisse voisine du cimetière. Les enfants du quartier restaient toujours cois et intrigués devant cette absence d’édifice, se rappelant pour certains la nuit où les flammes avaient dévorées la masure avec ce qu’elle ocupait…
Mark, Sarah, et Spencer reprirent leur preste marche, tâchant d’oublier la jungle qu’était devenu la terre cendreuse.

Mais Sarah était captivée par cette fameuse maison, et c'est à contrecoeur qu'elle suivi les deux garçons. Durant toute la soirée, ils ramassèrent plus de friandises qu'ils ne pouvaient en manger. Leurs citrouilles bien remplies, ils décidèrent de rebrousser chemin et de rentrer à la maison, surtout que Sarah avait de la difficulté à traîner son lourd fardeau.

Ils repassèrent donc le long du cimetière et se retrouvèrent devant les restes de la maison. N'étant plus très loin de leur maison, Marc décida d'y laisser sa soeur pour aller s'amuser à des jeux de grands avec son ami.

C'est à ce moment que Marc apperçu deux jeunes garçcons dans la rue; un déguisé en clown et l'autre en super héro. Il ne pouvait laisser cette chance de faire peur à deux jeunes enfants. Ils laissèrent donc leur bonbons à la petite Sarah en lui disant de ne pas bouger et de surveiller leurs sucreries en disant qu'ils n'en avait pas pour longtemps.

La hache de Marc et les lames de Freddy eurent tôt fait d'effrayer les deux jeunes gamis qui se sauvèrent en laissant leur bonbons derrière eux. Marc et son ami revinrent donc vers sarah avec leur butin, mais tout ce qu'ils trouvèrent étaient les citrouillent de plastique débordantes de sucreries. Ils avaient beux appeler Sarah, elle ne répondait pas et ils ne découvrirent aucune trace de la petite; elle semblait s'être volatilisée.

Les deux amis étaient tant alarmés que les friandises au sol et celles dérobés aux jeunes enfants n’avaient pour eux plus la moindre importance. Même les pétards, boules puantes et œuf lancés, et autres farces jouées leur étaient sortit de l’esprit. Cette faute là allait leur coûter cher !
- Il faut la retrouver ou je suis mort ! S’affola Mark.
- On…on ferait peut être mieux de le dire à ta mère…Suggéra Spenser.
- Non, non, on va la retrouver…Sarah !
Songeant qu’elle n’avait pas pu aller bien loin, ils retirèrent l’hypothèse selon laquelle Sarah serait rentrée seule chez elle et fouillèrent les alentours, la suppliant d’arrêter de jouer à ce jeu idiot…
Des heures (du moins pour les deux garçons) passèrent. Ils avaient ratissés le cartier, sans se séparer pour autant, et étaient revenus devant la maison brûlée où Sarah s’était attardée. Elle n’avait pu franchir la grille de protection qui avait été placée tôt après que fut détruite l’habitation. Mark se rappela malgré l’agitation et le désespoir que des gens étaient morts ici. Peut être une seule personne. Il était trop petit pour se rappeler.
Pourvu que Sarah ne soit pas… Elle qui n’avait jamais craint les morts.
- Mais oui !
- Quoi ? S’enquit Spens, chargé des sucreries.
- On n’a pas été dans le cimetière…

bon au départ c'était sandra mais bon !!


les deux enfant coururent donc a perdre haleine jusqu'au cimetiere ou il pensaient retrouver sarah ! tout en courent Marc se reprochait la disparition de sa soeur et n'osait imaginer ce qui se passerai si il ne la retrouvait pas.
En arrivant au cimetiere ils virent que la porte était ouverte et la franchirent d'un pas hésitant, ils n'était pas rassurer car ils se retrouvaient dans un cimetiere la nuit de la toussaint et les histoire que l'on leur avait raconté plus jeune ressurgissaient brusquement. Spencer s'appretait a revenir sur ses pas quand il apperçut une ombre noir comme un objet a terre, intrigué et oubliant sa peur il s'approcha et appela Marc d'une voie blanche :
- "Marc...le chapeau c'est...c'est le chapeau de Sarah"...

- tu as raison mais où a t'elle ben pu aller dans ce cimeiterre?

En regardant alentour, les deux jeune garçons s'apperçurent que le balai de Sarah été posé contre l'une des colones qui encadraient l'entrée de la crypte.

- A non !! S'écria Spens. Pas moyen que j'entre là-dedans !!
- Allé, fais pas ton froussard. Viens avec moi, on ne risque rien et en plus on sera à l'abri, il commence à pleuvoir.

Effectivement, il commençait à tomber des cordes.

L’endroit était humide, lugubre, l’escalier glissant et du lichen couraient sur les murs. Le bruit de milliers de gouttes éclatant sur le sol se répercutait dans la cavité, troublant celui des pas hésitants des enfants. Spens entendit une voix derrière, celle d’un homme âgé. Il voulu avertir Marc, mais celui-ci s’enfonçait déjà dans les profondeurs. Spencer fit volte-face et remonta à quatre pattes les marches de sorte de ne pas être vu. Une fois qu’il pu entendre distinctement la voix, il s’arrêta complètement.
- … 25 ans de métier, et chaque année c’est la même chose…bon dieu de gamin…aucun respect…
La voix s’éloigna et Spenc poussa un soupir. Mais alors qu’il allait reprendre sa descente, la lumière diminua brusquement et un grand bruit métallique résonna à ses oreilles. La porte avait été refermée. Il n’eu pas le temps de décider s’il allait crier à l’aide et risquer d’être punit pour son intrusion ou non que le cliquetis caractéristique d’un verrous se faisait t’entendre. Affolé, il dévala les marches aussi vite qu’il pu tout en s’efforçant de ne pas tomber.

[hrp : le nécromancien des topics a encore frappé! et ce d'une phrase unique qui tue bien toute l'intringue. Chapeau...]

Spencer était affolé, partagé entre la peur et la culpabilité il se precipita vers elle Visiblement elle avait glisser sur les pierre humides et n'avait pas su se rattraper. Sa tete était encore à l'endroit ou elle avait heurté le sol, et la plaie ne semblait pas se refermer. Spenc remarqua a peine Marc qui s'approchait.
- il faut qu'on la remonte et que l'on appelle du secours...
- on peut pas il a fermé la porte à clé. dit-il sombrement.
- Hein, qui? mais comment...comment on va faire? s'affola Marc.
l'echo de sa voix resonna un instant puis un silence de mort régna dans l'air.
Marc regarda tout au tour de lui alors que ses yeux s'habituaient a l'obscurité. c'était une sorte de grand caveau au sol de béton lisse et poussiéreux, et dont les mursnavaient garder un aspect naturel. La mince ouverture du tuyau d'aération filtrait un peu de lumiere mais pas suffisamment pour que l'on puisse voir le mur opposé. Marc secoua spenc pour le faire revenir a la realité.
- Aller il faut sortir d'ici! Aide-moi, on doit chercher un moyen de sortir !
Spenc se leva et jetta un regard circulaire et désespéré a la piece. Puis Marc reagit.
- Regarde! y a quelque chose qui a bougé!
ils approchèrent lentement des tenebres. Puis, alors qu'ils prennait conscience des dimension du caveau, quelque chose fonca sur eux.
Ils sursauterent tout deux quand le rat passa entre eux pour aller se nicher dans quelques recoins obscures.
ils soupirèrent tout deux, puis Marc vit que son ami etait figé, le regard perdu dans le vide.
- Ou elle est?
Marc tourna la tete vers la zone illuminée de la piece. il n'y avait plus qu'une flaque de sang...

quelque chose d'anormal se passait.

Des bruits de pas résonnai d'un peu partout dans la crypte les deux jeune gens paniqué se collèrent dos a dos pour tenter d'apercevoir quelque chose.La peur se faisait sentir sur leurs visage leurs rythme cardiaque s'intensifier de minute en minute.des rires se firent entendre dans la pièces,cependant ce n'était pas quelque chose de joyeux bien au contraire.Spencer hurla montrez vous! allez venez.Marc lui était pétrifier sans sang bouillonnent dans ses veine son cœur qui battait a en mourir le faisait souffrir atrocement.
Tout a coup un long silence froid et glacial se fit sentir,la respiration des deux jeunes gens était arriver a leur paroxysme.
Marc senti quand lui toucha l'épaule il se retourna Spencer Spencer c'est toi qui ma toucher,non lui rétorqua Spencer.
Marc tomba sur lui même replier en boule tel un hérissant.

"-Hääh tu fais quoi, là? Faut... faut qu'on sorte... qu'on trouve le moyen... c'est pas un endroit pour nous!" s'affola Spencer.
"-Et ma soeur, t'en fais quoi?" maugréa Marc, "mais y a un truc pas net ici..."
Un ricanement se fit à nouveau entendre, faisant sursauter les deux garçons. Marc se releva comme s'il s'était assis sur un cactus.
"-Arrêtez, je sais pas qui vous êtes, mais c'est pas drôle!" gémit Spencer.

L'autre garçon réfléchissait à toute vitesse, en accord avec son rythme cardiaque. Il y avait certainement une explication, Sarah s'était probablement déplacé à un coin sombre de la pièce, et les ricanements provenaient peut être de dehors, quelqu'un jouait peut être avec l'écho du tuyau. C'était certainement ça, ça devait être ça. Il s'avança, tremblant, essayant de se persuader que rien ne lui arriverait, et se dirigea vers le mur qu'ils ne pouvaient pas distinguer entièrement à cause de la pénombre. Il eut plusieurs fois la sensation d'être frôlé, mais s'obligea à croire que c'étaient des courants d'air. Arrivé au bout, le jeune garçon murmura le nom de sa soeur, espérant une réponse. Mais rien ne vint. Où pouvait-elle bien être, sinon ici?
Marc se mit alors à tâtonner le mur, mût par une quelconque intuition, et faillit tomber quand sa main rencontra du vide. Il demanda à Spencer de venir, qui refusa tout d'abord, puis s'exécuta sous la menace d'être laissé tout seul. Le trou que Marc avait découvert était largement assez grand pour qu'ils s'y faufilent, quoiqu'ils devraient y aller l'un après l'autre, et à genoux, et semblait descendre plus profondément dans la terre. Vu l'aspérité des parois, ce passage avait soit été créé par un éboulement, soit... creusé par quelque chose.

"-Allez, on doit aller voir.
-Quoi?! Mais t'es fou! On sait pas ce qu'il y a là-dedans, ça se trouve on va tomber dans un endroit d'où on pourra même pas ressortir! Faut qu'on essaye de rentrer, plutôt!
-Tu m'imagine rentrer chez moi sans Sarah? Ma mère ne me pardonnera jamais. Tu peux toujours rester ici tout seul et attendre..."

Ces mots furent suffisamment convaincants, et ils entamèrent la descente. La pente était douce, la terre humide et froide, interrompue parfois par de petits objets durs dont les garçons préféraient ignorer la provenance. Ils progressèrent à quatre pattes pendant un moment qui leur parut infiniment long, puis ils débouchèrent enfin sur une ouverture. La pièce où ils venaient d'arriver était plongée dans l'obscurité la plus totale, et les garçons durent de ce fait s'en remettre à leur ouïe et leur toucher. Ils avancèrent tout doucement, de plus en plus atteint par l'angoisse, jusqu'au moment où Spencer demanda brusquement de s'arrêter. Ils ne produisaient plus aucun bruit. Et pourtant, on pouvait entendre distinctement que des choses se déplaçaient autour d'eux, et de droit devant provenaient des sons horrifiants, absolument indescriptibles.
Tétanisés, ils ne bougèrent plus, se demandant dans quel pétrin ils s'étaient fourrés et s'ils pourraient s'en sortir. La volonté de Marc commençait à flancher, les hurlements de sa mère ne seraient peut être pas si terribles après tout. Il commençait de se demander s'ils ne feraient pas mieux de rebrousser chemin quand il sentit une respiration dans sa nuque. Le jeune garçon hurla le nom de son ami, mais seul un effroyable gargouillement lui répondit...

...Avançant encore et encore ..... la peur au ventre...Il trouva l'entrée d'un autre tunnel, plus gluant et nauséabond encore. Il semblait s'enfoncer dans les profondeur de la terre. Le sol se faisait de plus en plus glissant, a tel point qu'il trébucha et fit la plus longue glissade de sa vie. Combiende temps durra sa chute ? Il n'en savais rien et il finit par atterrir sur quelquechose de dûr.