Le sujet est traité dans "le monde inconnu" magazine sur le paranormal.
Dossier initial ; la planaire; ver aquatique de 4 cm de long une parie d'yeux rudimentaire mais qui a la particularité d être quasiment immortel.. Cela nous amène à la mémoire délocalisée et à la mémoire cellulaire.
Avec la mémoire cellulaire ou celle présente dans les corps énergétiques, on s'éloigne donc d'une vision de la mémoire tapie au fond du cerveau. La notion d'archives AKASHIQUES nous amène encore plus loin.
Pour les visionnaires hindous, l'askasha est la mémoire durable du cosmos : on parle "d'archives askashiques". Un concept ancien que l'on redécouvre à présent au travers du "champ unifié" qu'évoquent les scientifiques, origine et destination finale de toutes les choses qui apparaissent et évoluent dans l'espace et le temps. Pour l'auteur Ervin Lazlo, le champ askashique constitue un champ sous-quantique où tout ce qui s'est jamais passé reste enregistré de manière holographique. C'est en se connectant, volontairement ou non , à cette mémoire universelle que certains sujets vivraient des visualisations artistiques, des intuitions créatrices, des expériences de mort imminente, des réminiscences de vies antérieures.
Note perso : bien sur, le sujet ne s'arrête pas là... Il est question des transplantations dont le sujet manifeste les traits de caractères du donneur ! donc retour au fait que la mémoire ne serait pas centralisée mais bien au contraire dispersée dans les cellules (dite mémoire corporelle, ou mémoire cellulaire.) En poussant plus loin la réflexion ; la mémoire universelle, prise dans le sens de celle qui émane depuis la création de l'univers, la mise en place des planètes, l'origine de la vie, le chamboulement permanent ou "chaos" ordonné ou pas. Serait-elle aussi mémorisée ou inscrite dans la matière invisible répartie dans l'espace et le temps ? ou cellules souches de l'univers ? Notre immortalité serait dans ce cas le retour post mortem à cette mémoire "askashique ou cellules souches de l'univers donc à ce que nous appelons Dieu.
Aller, un petit effort, poursuivez....
Amitiés